J’aime les grosses averses orageuses sur le goudron après la chaleur et la poussière. Ça sent bon, il fait frais, et c’est comme si on mettait un gros coup de ventilo sur le cerveau.
Les idées s’apaisent et on peut enfin réfléchir tranquille au rythme du tonnerre qui s’approche.
Bon ok, avec moins de poésie ça signale aussi qu’il faut se dépêcher de finir sa note pour éteindre le PC -_-‘
Bref, ça va ça va… je « rafraîchi ma tête » après m”avoir autorisé les 8 verres que j’avais noté dans le budget. J’remercierais d’ailleurs mes gentils bienfaiteur des trois cocktails offert ^^\
Où j’en suis ? Bah ça n’a pas bougé. Mais tout de même… J’ai commencé à faire des cartons (1 mois et demi en avance) et à chaque carton fermé et numéroté, c’est comme si j’ouvrais un peu d’espace libre sur ma vision des choses. C’est ‘achement méditatif de faire les cartons, si si, j’vous l’dis.
J’alterne donc mon temps entre vidage d’appartement (et peeling de vie parisienne), et sorties avec les gens que je ne pourrait plus voir dans un mois. Je mets d’ailleurs un gros coup d’accélérateur. On s’est fixé un quota de 3 sorties minimum par semaine pour voir un maximum de gens et d’enregistrer le plus de souvenirs possibles avant de partir faire les ermites dans nos montagnes.
Ça va manquer… ils vont manquer… Alors autant en profiter.
’Plif Plaf *super bruitage de la pluie qui tombe*