J”me sens mieux, rassurée même si un doute de confiance est toujours tapi dans le coin sonbre de mon esprit.
Mais meme si je me sens bien, je sens comme un vide en moi. Ce vide c”est evidement la place qu”il occupait. La chose a laquelle je pensait quand je n”avait rien à penser.
D”un coté c”est assez triste, frisant la melancolie aux heures les plus creuses. Et de l”autre c”est encourageant puisque ça m”a permis d”identifier cette necessité absolue de relation continuelle dont j”ai besoin.
Les gens qui vont bien ont comblé ce vide par eux meme, par une passion, un but, ou qqch du genre. Moi j”avais fait le choix d”y mettre qqun d”autre que moi meme.
Si j”avais encore le choix et bien je l”y mettrais encore. Car je suis du genre a preferer donner aux autres que de m”occuper de moi.
ça peut paraitre lache quand on y regarde pas de plus pret mais je n”y crois pas plus qu”a la necessité de faire le mal pour etancher sa peine.
Mon moi me parait bien trop simple et ennuyeux, ce que je veut m”apparait trop vite pour que ça satisfasse a ma curiosité ou mon interet. Le fait de reussir à chaque fois etant une demo la plus criarde du phenoméne.
C”est pour ça que je prefere mettre les autres au centre, pour etre surprise, pour etre emue.
Ca parait trivial dit comme ça mais c”est justement parceque la reponse est si simple qu”elle demontre que c”est elle.
Nombreux sont ceux qui jugerais ça peut glorieux mais c”est ce qui m”interesse le plus.
Pourquoi faire compliquer quand c”est simple?
Certains trouvent leur compte justement en tarabiscotant, moi c”est en sentant cette simplicité que je me sens bien