Enfin chez moi, mes murs, mes meubles, mes chats, mon canap’ et … mes factures.
Fini de cette coloc’ contre nature et me voila face à moi-même.
Je rêve à ce qui se passe. J’allége les peines et les défauts. Je blinde les caprices qui se prennent pour des résolutions. Et je place très correctement les œillères de l’optimisme pour ne pas songer à ce qui pourrait plus mal aller.
Vaille que vaille j’avance, pas trop vite, la fleur au bec et la tête dans les étoiles pour ne pas trop voir où je met les pieds.