Bon, je dois vous le confier… depuis quelques temps deja j’avais honte de moi…
J’ai toujours concideré la pate à tartiner cote d’or comme une invention geniale soufflée par Dieu à l’oreille des industriels pour venir au secour des celibataires en proie à la « deprime du matin ».
Ce fondant unique, ce gout puissant, cette douceur mélée d’amertume… *rale de bonheur* Y a t il un autre met, un autre susbtitut qui puisse valoir deux bras bien chauds au reveil?
Non, on est bien d’accord (ou alors donnez moi vos sources).
Bref…
Ayant preparé un stock (par l’entremise d’un reseau top secret reliant la Belgique à Grenoble) je survivais à chaque nuit en pensant à la bien heureuse tranche de brioche que je tartinerais le lendemain de mon cote d’or bienfaiteur.
Or, depuis quelques semaines, la honte me ronge…
Ma conscience ne cesse de me torturer lorsque je tarine langoureusement mon cote d’or sur la croute dorée de la brioche toastée.
Comme puis je oser m’adonner à cet acte susbitut, à cette rare joie de celibataire alors que …….. je ne le suis plus.
Oh rage, oh desespoir!
Comment puis je usurper ce droit et cumuler ainsi les bras fermes et chauds qui vous entourent au matin et le gout unique du cote d’or au petit dejeuner!
Mon âme fait crisser les ongles du remord sur le bord de mon coeur… j’ai honte… mais c’est si bon.
Et ainsi de me complaire entre le bonheur et la malseance d’une pratique indigne….. jusqu’a ce matin où:
A pu cote d’or -_-‘
Donc voila, justice est faite…
*yeux humide au moment de deposer le pot vide dans la poubelle*