Encore une fois je ne passerais pas noël dans ma famille. Par contre à l’occasion de ce week-end chez les grands parents je suis revenue avec des tas de copies de photos et/ou de nouveaux souvenirs directement reliés à d’autres plus anciens. C’est étranges comme ces images fixées sur pellicule peuvent se laissé contempler sans fin.
Sans avoir été là pour les prendre elles restent quand même des souvenirs qui nous sont propre, quitte à avoir re-inventé le souvenir qui y est attaché. J’ai longtemps été une maniaque de l’appareil photo qui mitraille le quotidien. Avec le recul tout les souvenirs ainsi fixés n’ont pas la même valeur mais beaucoup se révèlent être de vraies petites pépites qui méritent d’avoir été prises même hors des « grandes occasions ».
Ce qui reste après que les choses et les mémoires qui s’effacent, se sont ces photos qui servent de trame pour se raconter, se souvenir, transmettre, perdurer. Dire que maintenant ces traces ne sont que des octets sur disque dur, quelque part ça me met mal à l’aise. Après tout, comment peut on garder ces choses si on ne les a pas entre les mains?
Y’a pas de doute, c’est ta grand-mère !
Et mon droit à l’image !!!! On ne respecte plus rien….
@babounet:
Droit à l’image?! c’est quoi donc que cette histoire… à plus de 40 ans de distance sur la photo ton droit à l’image me semble guère probant. Et pis ça s’applique pas à Djibouti :p
@wawaa:
Je suis contente qu’on s’en rende compte