Essayons donc de faire le point.
En gros, le 17 mars dernier ma belle mère est morte. Au jour d’aujourd’hui cela fait donc 2 mois (à j-2).
Au jour d’aujourd’hui nous avons effectué les démarches post mortem. Le dossier de la notaire sera prêt dès que mon beau père aura fini ses impôts ou que j’aurais craqué et fini par lui faire. Le jour de la fête des mères on devra allez chercher l’urne funéraire pour allez la planquer quelque part en attendant de pouvoir la disperser. Et les questionnaires pour les assurances crédits sont enfin prêts à être envoyé.
A coté de ça, D. va un peu mieux, c”est-à-dire qu’il arrive à envisager le décès et il à pleurer pour la première fois la semaine dernière. C’était horrible je me sentais effrayée et impuissante même si j’essayais de me convaincre que c’était un bon signe voir un déblocage. Toutefois, il ne veut pas rester seul à la maison et passe ses soirées à boire dans des bars ou chez des potes quelque qu’ils soient, même si certains ont ses priorités. Résultat : bibiche l’attend à la maison patiemment avec un repas et se fait lapiner un soir sur deux parce que « c’est sa faute il l’avait prévenu » et qu’il prend un verre tranquillement avec cette pléiade d’amis qui, il faut croire, ne trouve pas inquiétant de descendre un litre d’alcool au minimum chaque jour…surtout en période dépressive…
Et puis Bibiche s’occupe des papiers et du déménagement, ce en quoi il l’a remercie mais où elle n’est pourtant pas satisfaite…
L’un et l’autre attendent avec impatience le déménagement mais pas pour les même raisons si ce n’est l’éloignements avec « la forme de vie de leur maintenant »