Regain
Comme il est doux,
les longs soirs d’hiver
De repenser au fond d’un verre
A ces beaux jours d’été
Où chaques heure est gaie.
Mon esprit alors flétri
Par cette chaleur refleurie,
Car le soleil fait a mon cœur
Se que chaques fois il fait aux fleurs.
Mais cette oasis d’hier
M’est malheureusement éphémère,
Puisque cette vision épanouie
Peu à peu s’évanouit,
Car l’eau de ces soirées
Ne sera jamais celle du Léthé.
[et dire que j’ecrivais ça à 16 ans, je me demande où est passée la Muse…]