Defis et deficience…
Un truc vient m’a ouvert les yeux sur ma capacité (à proprement dit suicidaire) de me lancer des défis personnels. C’est tout con, et sur le moment les gens m’envient quand j’en parle autour de moi… Imaginez: j’ai voulut avoir mon deug car je me suis dis “des gens aussi voir plus con que moi l’ont. Alors j’aurais mon Deug et toc!”
Effectivement j’ai eu mon Deug. Tout comme j’ai eu un taf où je n’aurais jamais du être. Tout comme je frise la promo sur un taf où j’ai 15 jours d’ancienneté.
Mais ça c’est des défis positifs. A coté y à des défis cons qui, sous prétexte que des personnes autour de moi l’ont déjà fait, je me mets à vouloir le faire mieux qu’eux. Mais tout le monde n’a pas la même conception de la portée de ses actes, le même courage et la même capacité d’abnégation… Par cette capacité à me défier j’en arrive à me louper et me casser la gueule proprement.
Ca me mine, me salit… non pour la défaite mais parce que je n’ai pas réussit à passer un cap et que j’ai fait qqch qui me dégoûte, qui me dégoûte de moi-même et qui à dégoûter d’autres de moi… Cette capacité au défi, ça n’est positif que si on arrive à faire la part des choses entre positif et négatifs. A quand l’invention d’une machine “humaine” et infaillible pour faire la part es chose? J’achète!