Jeudi dernier, en écoutant la radio qui me sert de réveil j’entends cette annonce:
Les urgentistes et anesthesistes hospitaliers observeront une grève des soins non urgents jeudi 17 janvier à l’appel de quatre syndicats pour obtenir le paiement d’heures supplémentaires accumulées, a annoncé le président de l’Amuf (urgentistes), Patrick Pelloux.
M’inquietant je fait quelque recherches et j’apprend que ça ne concerne que les urgences. Ouf.
Lundi midi, en plein milieu de mon shopping pouf-pouf parisienne; hésitant entre l’achat de sirop à l’ylang-ylang et des sucres en formes de papillons; je reçois un coup de fil de mon chirurgien pour me dire que finallement on peut pas m’operer le 17.
Résultat des courses: operation le 31 avec une nouvelle technique drolement bien pour moi, reprise du travail jusqu’au 30 janvier, arret de travail jusqu’a mon demenagement. On annule les rendez vous angiologues, anesthésiste, esthéticiennes, les billets de trains des week end, la reprise du boulot, les assedics, etc…
Tout un planning de chambouler, mais on me dit que c’est vachement trop bien pour moi.
Bref, ne jamais rester camper sur des certitudes, finalement y a que ça de vrai!
L’important c’est qu’on t’apporte les meilleurs soins et qu’après tu pètes la forme ! Le reste on s’en fout !
tu vas encore nous declancher une grève des controleurs aérien en avril !!!! C’est t’y pas possible une poisse pareil…
Tu crois qu’ils ont droit de greve au Yemen?
Attention, au Yemen, faut prendre le bus de gauche, pas celui de droite, le bus de gauche !
Hum Oo tu parle pour de vrai là?!