Je n’aime jamais tant Paris que lorsqu’il n’y a pas de parisiens ! Fini la foule, fini la rumeur toujours grondante, moins de bruit, plus de lumière; on se croirais enfin chez soit. Certes, Paris au mois d’août ce n’est pas non plus le meilleur moment. Trop de choses fermées, trop d’habitudes à modifier. Mais …