Bon, maintenant que la fièvre du macaron a fini de décimer les blogueuses, je peux enfin vous parler de ma passion pour cette pâtisserie. Il faut dire que j’accorde beaucoup d’importance au macaron. Mon chéri serait le premier à témoigner que le macaron chez moi équivaut à un anxiolytique chez d’autres. Rien ne fonctionne mieux …